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L’année folle de Trevor Georgie

L’année folle de Trevor Georgie

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SAINT-JEAN, N.-B. | Il n’y a probablement pas un directeur général, dans toute la Ligue canadienne de hockey qui a eu une saison additionally chargée que celui des Sea Canines, Trevor Georgie.

L’homme de hockey a multiplié les transactions et a même pris le pari de congédier son entraîneur-chef Gordie Dwyer après l’élimination shock des Sea Canines au premier tour experience à l’Océanic de Rimouski, pour le remplacer par Gardiner MacDougall.

Au bout du compte, pressure est d’admettre que tous ces changements, parfois controversés, ont porté leurs fruits, puisque Saint-Jean participera à la finale de la Coupe Memorial mercredi soir, contre les Bulldogs de Hamilton.

« C’est un travail qui dure depuis plusieurs années et c’est sûr que de voir que l’équipe performe bien, ça nous permet de nous sentir mieux. Ces jeunes vivent des moments inoubliables et je suis fier de voir comment ils ont répondu. Dans l’adversité, tu peux t’écraser ou te relever les manches et je suis fier de notre groupe », a exprimé Georgie lors d’un entretien avec Le Journal, mardi matin, au TD Station.

Sans aucun doute, le travail de Georgie a été scruté à la loupe toute la campagne et souvent remis en concern aux quatre coins de la LHJMQ. Après avoir ajouté cinq joueurs à sa development avant le début de la saison, dont William Dufour, il a réalisé six autres transactions lors de la période des Fêtes, faisant l’acquisition de huit autres hockeyeurs. 

Merci aux Flames

De surcroît, il a reçu un coup de pouce des Flames de Calgary qui lui ont renvoyé les espoirs Ryan Francis et Yan Kuznetsov lors de la première moitié du calendrier.

Plusieurs se demandaient si la chimie pourrait opérer en si peu de temps.

« Notre noyau était déjà solide et on avait fait nos recherches. Tous les joueurs qu’on a acquis avaient des connexions à l’interne. Par exemple, Vincent Sévigny et Nikolas Hurtubise avaient gagné ensemble à Victoriaville. Marshall Lessard connaissait William Villeneuve et Olivier Picard puisqu’ils avaient gagné le championnat midget AAA ensemble à Magog. Quant à Philippe Daoust, il provient de la même agence que Brady Burns, Jérémie Poirier et Noah Patenaude. On n’était donc pas inquiets que la chimie s’installerait. »

DÉCEPTION

Difficile de nier que Georgie et les Sea Dogs avaient vu juste, car l’équipe a été probablement la meilleure dans la LHJMQ lors de la seconde moitié de saison, ne subissant que deux défaites à ses 27 derniers matchs.

Toutefois, le parcours s’est terminé de façon abrupte en première ronde, contre Rimouski. Deux semaines après l’élimination fut prise une autre décision d’importance et probablement la furthermore audacieuse de la saison, soit celle de congédier Dwyer et d’embaucher MacDougall, un entraîneur dont la réputation n’est in addition à faire dans les Maritimes, en raison de ses succès à la barre de l’équipe de l’Université du Nouveau-Brunswick.

« On ne prend aucune décision sur un coup de tête, a pris le temps de spécifier Georgie. Nous avons pris le temps de faire un post mortem et nous avons regardé ce qui avait bien et moins bien fonctionné et on s’est demandé ce que ça nous prenait pour que le résultat soit différent [à la Coupe Memorial]. »

Motivateur

Ultimement, il ne regrette pas ce choix.

« [MacDougall], c’est un excellent motivateur. Même nous, quand on l’entend parler dans le vestiaire, on est gonflés à bloc. Après la défaite contre Rimouski, nos joueurs étaient atterrés. On sentait qu’on avait besoin de quelqu’un pour apporter du positivisme dans le vestiaire. »

LES MOTS DE HUBERDEAU

Les joueurs des Sea Puppies ont eu la possibility de rencontrer Jonathan Huberdeau dimanche. L’attaquant des Panthers de la Floride a porté les couleurs de la formation néo-brunswickoise de 2009 à 2013, remportant deux fois la coupe du Président, en 2011 et en 2012, et la coupe Memorial en 2011.

« Son concept était vraiment juste d’apprécier le instant, a raconté William Dufour. Ça fait 10 ou 12 ans qu’il a gagné et on voyait qu’il avait encore du exciting avec les gars de l’équipe. De savoir qu’ils trippent ensemble après autant de temps, ça nous fait réaliser qu’on s’apprête à vivre un second qu’on va se rappeler toute notre vie. On est tellement soudés et tellement des frères qu’on ne peut pas échapper ça. On veut juste travailler fort et je suis confiant en nos odds. »

« LADY MO » SUR UN CHANDAIL

Après que l’entraîneur Gardiner MacDougall eut parlé pour la première fois de « Lady Mo », personnifiant ainsi le momentum dans un match, lors de son position de presse de samedi, tous les joueurs des Sea Canine portaient un chandail avec « Lady Mo » inscrit dessus, mardi. « Il nous en avait déjà parlé avant la première partie. Il nous avait dit qu’il y avait deux demoiselles sur la glace : Woman Mo et la rondelle. […] Il utilise des expressions et nous raconte des histoires du passé. C’est un motivateur et c’est le enjoyment de voir à quel position il est engagé », racontait Dufour.

LE VRAI VISAGE DES BULLDOGS

Les Bulldogs de Hamilton ont perdu leur premier match du tournoi encounter aux Sea Puppies de Saint-Jean par la marque de 5 à 3. Pour l’entraîneur-chef Jay McKee, ce match ne veut furthermore rien dire. « Ils n’ont pas vu le vrai visage des Bulldogs de Hamilton. Je m’attends à ce qu’ils le voient demain soir [mercredi soir]. […] On n’a pas retenu grand-chose de notre premier match. On avait l’air fatigué. On revenait d’un septième match très émotif en finale de notre ligue [Ontario] et on a dû se préparer rapidement pour la Coupe Memorial. On n’avait pas eu beaucoup de temps pour s’entraîner et on n’a pas eu l’air des Bulldogs de Hamilton. »

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