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Triste de voir l’ancre du Canadien partir

Triste de voir l’ancre du Canadien partir

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Si Alex Burrows est triste de voir partir Luke Richardson, un collègue avec qui il bâtissait une chimie depuis un an et demi, l’entraîneur adjoint du Canadien est aussi content material de le voir poursuivre son « incroyable carrière » chez les Blackhawks de Chicago. 

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Ces derniers ont confirmé l’embauche de Richardson à titre d’entraîneur-chef lundi, après plusieurs semaines de rumeurs. 

« Luke roule sa bosse depuis tellement d’années, que ce soit avec nous ou les Islanders de New York. Il a même fait un tour dans la Ligue américaine, où il a dirigé les Senators de Binghamton. C’est quelqu’un qui a très bonne réputation et qui est respecté partout », a rappelé Burrows, mardi. 

Richardson s’occupait des défenseurs du Tricolore depuis additionally de deux saisons quand Burrows est venu le rejoindre derrière le banc, dans la foulée du congédiement de Claude Julien. 

Et l’année et demie qu’ils ont passée ensemble a été peu reposante. 

Il y a eu la pandémie, la finale de la Coupe Stanley, les congédiements de Dominique Ducharme et de Marc Bergevin, l’arrivée de Martin St-Louis et de Kent Hughes, mais surtout cette campagne de misère durant laquelle le CH a coulé jusqu’au 32e rang du classement. 

« Ç’a été des montagnes russes d’émotions, pointe Burrows. Et quand je suis arrivé avec le Canadien, ç’a été une shock pour moi. Mais Luke était un fier soldat sur qui je pouvais toujours compter. On révisait certaines cases de jeu ensemble. Je pouvais lui poser plusieurs questions. » 

Le calme dans la tempête

Richardson avait d’ailleurs cette capacité d’aider l’équipe à demeurer calme, peu importe la predicament, relève le Québécois de 41 ans. Comme une ancre dans la tempête. 

Ce qui a d’ailleurs aidé à Burrows à plusieurs occasions, lui qui, de son propre avis, a plutôt tendance « à être émotif ».

« C’est triste un peu de le voir partir, parce qu’après un an et demi, je bâtissais une chimie et une amitié avec lui, ajoute-t-il. Mais de le voir devenir entraîneur-chef avec les Blackhawks, ça me rend tellement heureux pour lui. Ça faisait tellement d’années qu’il attendait cette possibility. »

Besoin d’expérience ?

Maintenant que Richardson est officiellement parti, le Canadien gagnerait-il à embaucher un adjoint d’expérience pour épauler St-Louis, Trevor Letowski, Éric Raymond et lui ? 

« Ça ne sera sûrement pas ma décision et il y aura sûrement beaucoup d’excellents candidats, mais je crois que l’expérience et le parcours entrent en ligne de compte », croit Burrows. 

« Ça prendra quelqu’un qui a la même philosophie que Martin, la même eyesight pour notre groupe de défenseurs, ajoute-t-il. On en a plusieurs jeunes qui cognent à la porte. Il aura beaucoup de soreness sur la planche, mais j’ai hâte de savoir c’est qui, et de commencer à travailler avec lui ou avec elle. »

Et Burrows, lui, se voit-il un jour suivre les traces de Richardson en devenant entraîneur-chef dans la LNH ?

« Peut-être un jour, mais présentement je me plais beaucoup dans mon rôle avec le Canadien, précise-t-il. J’ai développé beaucoup d’affinités avec les joueurs, j’aime beaucoup la philosophie de l’équipe, ce qu’on essaye de bâtir. »

Les Golden Knights de Vegas ont confirmé mardi soir l’embauche de Sean Burke à titre de directeur des gardiens. L’homme de 52 ans occupait les mêmes fonctions avec le Canadien depuis mars 2021. L’ancien portier de la LNH œuvrait pour l’organisation du Tricolore depuis la saison 2016-2017, lui qui a occupé les fonctions de recruteur et de marketing consultant.

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